La dualité des cavaliers

LA DUALITÉ DES CAVALIERS:

Voici une suite de poésies qui se suivent et que j’ai écrit entre mes dix-neuf et mes vingt et un ans, aujourd’hui j’en ai vingt-huit pour vous situer.

Première partie I. Le cavalier blanc

1.

Dans ses beaux jours, il chantera "Et même si parfois j'ai l'air imbu de moi-même En somme de toute façon je reste poussière et de cette sorte Alors j'avance cherchant ce petit bout d'étoile Comme chantant un hymne non esthétique Celui de cette étoile paire a la mienne À peine romantique Plus mélancolique Peut être m'encanaillant au passage d’hyènes Je recherche ma moitié Avec patience, m'exclamant, ou sans crier" C'est la rose bleue sur la poitrine La tête remplie de mille cœurs L'amour discret et bleu marine Que le cavalier blanc fait peur Aux femmes car trop sentimental Il recherche sa poussière d'étoile Mais jamais il ne la trouvera Jamais elles ne penseront a lui Et lui elles le fuient Pauvre mal-aimé Déshérité en amour Car sans le bon discours Une larme ainsi coulera Créant ainsi fontaine Où iront se baigner les mondaines Sous leur joie il y passera Le cœur fêlé Et miroitant Ainsi trop zélé Le cavalier blanc